UGC et contenus clients : comprendre la différence entre Flowbox et JOIN
Les contenus générés par les clients (UGC) se sont imposés comme un standard du e-commerce.
Photos, vidéos, Stories ou encore Reels permettent de rassurer, de projeter et d’humaniser une marque.
Mais derrière un même mot - UGC - se cachent en réalité deux usages très différents :
- montrer des contenus clients pour enrichir l’expérience,
- ou activer ces contenus dans la page produit pour influencer la décision d’achat.
C’est précisément ce qui distingue Flowbox et JOIN.
Les deux solutions adressent le sujet de l’UGC, mais avec des objectifs, des périmètres et des impacts business très différents.
Flowbox : collecter et diffuser des UGC pour enrichir l’expérience
Flowbox est une plateforme UGC reconnue, utilisée par de nombreuses marques e-commerce.
Son positionnement est clair : centraliser les contenus sociaux existants et les diffuser sur le site.
Concrètement, Flowbox permet de :
- récupérer automatiquement les contenus où la marque est mentionnée ou taguée,
- gérer les droits d’utilisation auprès des créateurs,
- organiser ces contenus dans une bibliothèque,
- les afficher sur le site via différents widgets (grilles, carrousels, modules PDP).
L’intégration est rapide et la promesse bien tenue :
Flowbox facilite l’ajout de contenus clients visibles, cohérents et authentiques sur un site e-commerce.
Dans cette logique, l’UGC joue principalement un rôle d’enrichissement visuel et d’inspiration :
- créer une zone sociale,
- rassurer par la preuve d’usage,
- renforcer l’image de marque.
Les limites structurelles de cette approche
Dès lors que l’enjeu dépasse l’affichage, certaines limites apparaissent.
- Les formats restent majoritairement statiques ou semi-dynamiques, avec une interaction limitée sur mobile.
- Les contenus sont rarement pensés comme des éléments actifs de la PDP, mais plutôt comme un module complémentaire.
- La capacité à tester, comparer ou optimiser l’impact des contenus est faible.
- Les indicateurs disponibles se concentrent sur l’engagement (clics, vues), sans permettre d’analyser finement leur influence sur :
- l’ajout au panier,
- le taux de conversion,
- le chiffre d’affaires,
- ou la performance globale de la page produit.
Flowbox répond donc très bien à un besoin précis : montrer davantage de contenus clients sur un site e-commerce.
Mais l’outil s’arrête globalement à la diffusion.
JOIN : activer les contenus (UGC et vidéos) comme leviers de conversion
JOIN adopte une approche fondamentalement différente.
L’objectif n’est pas seulement d’afficher des contenus, mais de les intégrer au cœur du parcours d’achat, en particulier dans la page produit.
Sur JOIN, les UGC ne sont pas traités comme une catégorie à part, mais comme un type de contenu parmi d’autres, au même titre que :
- les vidéos produit,
- les vidéos pédagogiques,
- les vidéos brandées,
- ou les contenus influenceurs.
Tous ces formats peuvent être utilisés, combinés et activés dans une logique unique : faire avancer la décision d’achat.
De l’UGC social à la vidéo shoppable
JOIN permet de :
- remonter automatiquement les contenus sociaux (stories, posts, reels),
- gérer les demandes de droits en un clic,
- dépublier automatiquement les contenus lorsque les droits expirent,
- transformer ces contenus en vidéos shoppable.
Un contenu UGC n’est plus simplement affiché : il devient une Web Story e-commerce interactive, intégrée directement sur la HP ou au sein de la PDP, avec des tags produits et un parcours pensé pour la conversion.
Une cliente montre un produit dans une story Instagram : ce contenu peut être activé en quelques minutes comme une preuve d’usage cliquable sur la bonne page produit.

Une différence clé : le pilotage et la mesure
L’un des écarts majeurs entre Flowbox et JOIN réside dans la capacité à mesurer et optimiser.
Chaque contenu activé via JOIN est analysé selon son impact réel dans le parcours d’achat :
- ajout au panier,
- taux de conversion,
- chiffre d’affaires généré,
- contribution à la performance de la PDP.
L’UGC ne se limite plus à “bien performer visuellement” : il devient un levier mesurable, comparable à d’autres éléments de la page.
JOIN va plus loin en intégrant un module d’A/B testing, permettant de tester :
- la présence ou non de Stories,
- leur position dans la page,
- le type de contenu le plus performant (UGC vs vidéo produit, par exemple).
Cette approche permet aux équipes e-commerce de répondre à des questions concrètes :
- quels contenus influencent réellement l’achat ?
- quels formats méritent d’être priorisés ?
- quelle configuration de PDP maximise la conversion ?
Deux usages distincts de l’UGC
Au final, Flowbox et JOIN ne répondent pas au même besoin.
Flowbox s’adresse aux marques qui cherchent à :
- collecter automatiquement des UGC,
- les diffuser facilement sur leur site,
- enrichir l’expérience visuelle et sociale.
JOIN est pensé pour les équipes qui souhaitent :
- intégrer les contenus au cœur de la PDP,
- piloter leur impact business,
- optimiser en continu la performance des pages produits,
- orchestrer UGC, vidéos produit et contenus pédagogiques dans un même parcours.
Choisir entre Flowbox et JOIN
Le choix entre Flowbox et JOIN dépend moins du volume d’UGC que de la maturité e-commerce de l’équipe.
- Si l’objectif principal est d’afficher des contenus clients pour renforcer la preuve sociale, Flowbox répond efficacement au besoin.
- Si l’objectif est d’utiliser les contenus comme un levier de conversion mesurable et optimisable, JOIN propose une approche plus complète.
C’est ce qui explique pourquoi plusieurs marques : Jonak, Tikamoon, Julbo, Miléade ou Berah Gettah ont fait évoluer leur stack UGC vers JOIN.
En résumé :
- Flowbox met en avant les contenus clients.
- JOIN les transforme en éléments actifs du parcours d’achat.
Deux visions de l’UGC.
Deux niveaux d’impact sur la performance e-commerce.
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